Quelle carrière pour quelqu'un qui a un peu plus de 25
ans et qui a débuté dans le premier boys band :
Take That !
Après avoir été viré manu militari
par ses anciens collègues pour comportement outrancier
et incompatible avec leur pubère public (usage & consommation
excessive d'alcool et de substances illicites), on ne donnait
pas cher de sa recovery. Take That splitta quelques mois plus
tard et Robbie - désintoxiqué - redémarre
une nouvelle carrière. Que sont devenus les autres ?
Et de découvrir un homme avec un timbre de voix impeccable,
un tube multi-platiné Angel et c'était reparti.
En 2000, il nous gratifie d'un album Sing
when you're winning qui secoue la perfide Albion, le continent
ainsi que le pays de l'oncle Sam.
Les méga-concerts qu'il donne sont tous sold out, le talent
de Robbie s'affirme de plus en plus et le " métier
" le prend très au sérieux. Bien leur en a
pris.
Avec Swing when you're winning , c'est à ses idoles des
années 40 & 50 qu'il rend hommage : à savoir
le Rat-pack - Sammy Davis Jr, Dean Martin & Frank Sinatra.
Il nous gratifie de leurs plus grands succès : Mack the
knife, Wonderful year (qu'il chante en duo avec ol'blue eyes),
Mr Bojangles avec une pertinence, des arrangements et une voix
à en faire pâlir plus d'un. Cerise sur le gâteau
: Somethin' stupid en duo avec Mme Nicole Kidman (que chantait
le grand Frank & sa fille) en fera pâlir plus d'un.
Quel talent ! ! Indispensable.
Le 10 octobre 2001, il donna un concert unique au Royal Albert
Hall afin de promouvoir la sortie de cet album : Grand Orchestre,
girls et tout le tralala. Inutile de vous dire que devant un public
complètement chaviré il exécute pendant plus
d'une et demie un tour de chant percutant et plein d'émotion
(les larmes lui viennent aux yeux à la fin du concert).
Robbie at the Royal fait l'objet d'un DVD dont il conviendra de
faire l'acquisition.
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plus sur Robbie Williams.
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