Derrière The Divine Comedy, se cache Neil Hannon, celui
qui à 18 ans avait choisi ce nom au hasard, d'un poème
de Dante
Mais beaucoup d'eau a coulé sous les ponts
depuis et ce nouvel album est né en même temps que
le premier enfant de Neil.
Interprété et produit pour grande partie par Neil
lui même, ce disque est une réussite notamment sur
le plan musical avec des orchestrations très riches, des
mélodies grandioses comme pour Leaving today ou encore
le titre éponyme que l'on croirait tout droit sortir d'un
western. En fait, bon nombre de ces compositions pourraient servir
de support à des films.
En guest, on retrouve notre Yann Tiersen national, pour Sticks
and stones ainsi que Lauren Laverne sur Come home Billy Bird,
qui est d'ailleurs le premier single.
Inspiré à ses débuts par des artistes comme
Jacques Brel, Neil a depuis toujours eu un faible pour la langue
de Molière (Promenade ou encore Fin de siècle sont
deux de ses précédents albums) d'ailleurs la France
n'a pas non plus été insensible à son talent
et à sa chaude voix, un peu à la Neil Diamond.
Le groupe est d'ailleurs en tournée en ce moment et en
juin ils seront en France pour une série de concerts (billets
en vente dans les points habituels). Une tournée à
ne pas manquer, car un petit orchestre de quinze personnes accompagnera
la formation.
En savoir
plus sur The Divine Comedy.
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