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Alex: La première fois que nous l'avons joué, c'était au Japon.
Bob: Quand j'étais à l'hôpital !
Alex: Bob avait l'estomac barbouillé et nous devions compenser et jouer des titres en acoustique. Nous avons donc joué ce titre pour la première fois en acoustique. Il a ensuite évolué et s'est transformé en différentes choses pour finalement prendre une dimension plus importante que lorsque nous l'avons composé. Nous avons essayé de le jouer de différentes manières : en acoustique, version rock et même dans un rock plus traditionnel. Finalement il n'était ni l'un ni l'autre.
Paul: Nous avons essayé la même approche qu'avec la plupart des choses ! Mais ça n'a pas non plus fonctionné !
Alex: Nous avons évoqué les chansons du précédent album qui avaient une structure similaire. Des titres comme " Come On Home ", qui a cette même aura ou alors notre approche des arrangements. Mais rien ne collait ! Ca ne sonnait pas juste ! Finalement je suis assez content avec ce titre qui nous a permis de repenser notre façon de travailler et notre style.

" Turn It On " semble être destiné aux radios et cela parle en partie de la radio. D'où vous est venue l'idée ?
Alex: Elle est née de différents endroits. Nous sommes certainement la formation la moins conservatrice par rapport à ce que nous écrivons et à nos idées. Ce n'est pas comme si nous disions : " C'est notre chanson, vous ne pouvez pas la toucher ! C'est notre précieuse pièce d'art ! ". Mais ça serait plutôt du genre : " Oh ! J'ai des idées ! Qu'est-ce qu'on peut en faire ? " Et c'est comme ça que " Turn it On " a été créé. Le refrain est plutôt orienté R 'N' B. Nous avions un instrumental, un très long morceau. Nous essayions d'en faire quelque chose, comme notre version d'une chanson de Dr. Dre. C'était amusant à jouer mais cela ne sonnait pas juste et ce n'était pas vraiment nous.
Bob: Mais nous en avons pris le refrain.
Nick: Et il y avait ce truc avec les claviers. Ce " Dum de dum "…
Alex: Du point de vue des paroles, il s'agit essentiellement de textes sur ce que l'on dit. Je reste persuadé qu'on ne peut pas interpréter quelque chose d'une mauvaise manière. Lorsque l'on écrit des paroles, on ne peut pas savoir comment les gens vont les interpréter. C'est à eux de comprendre ce qu'ils veulent bien entendre.
Nick: J'ai joué dans un groupe où le batteur refusait de jouer en concert puisqu'il ne voulait pas influencer les gens !

Bob, en tant que diplômé en art, tu es l'expert en design. Donc peux-tu nous parler du style de la nouvelle pochette ? La dernière fois tu as utilisé la propagande russe. Est-ce un thème que tu veux continuer à exploiter ?
Bob: En fait Alex a rassemblé un certain nombre de posters et de documents de propagande. Cela ressemble à notre style, à notre manière de travailler auparavant.

Avez-vous déjà choisi un concept pour la vidéo ?

Alex: Non ! Nous ne nous sommes pas encore décidés. Nous en parlons encore. Je pense que ça ressemblera plus à un thriller d'action qu'à ce que nous avons fait par le passé. Nous allons certainement travailler avec Diane Martell. Il me semble qu'elle nous a été recommandée par l'ami d'un ami. En fait, par le bouche à oreille et c'est comme cela que nous travaillons avec la plupart des gens. Comme avec Rich ou avec Cerne notre manager ! La plupart de nos décisions sont basées sur notre feeling avec les gens. Généralement nous parlons avec eux de nos différentes idées et écoutons les leurs. Et c'est souvent ce moment-là qui prime, plutôt que de regarder ce qu'ils ont fait par le passé. C'est ce qui c'est passé avec Diane.

Bob a dit que vous vous étiez inspirés de votre dernier concert en Russie. Vous y étiez au milieu de l'enregistrement de l'album. Etait-ce pour tester en live vos nouvelles chansons, Nick ?

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