Comme vous le contera l'intro, l'histoire de la tribu se poursuit
avec le chapitre 2 des grandes histoires de Manau.
Si le ton reste dans l'ensemble presque aussi festif que Panique
celtique, les textes sont moins tournés vers la forêt
de Brocéliande et beaucoup plus variés dans leurs
propos.
La musique elle aussi connaît quelques évolutions,
à côté de chansons rythmées et bonne
enfant qui feront encore danser le cousin Dominik le breton avec
: Dafunkamanau, Fest Noz de Paname, Tout le monde, De Brunau à
Manau (un long solo de cornemuse), on peut trouver quelques ballades
: la poupée (avec Maurane), un titre jazz où Dee
Dee Bridgewater vient poser sa voix : Je jazz les couleurs et
quelques autres à tendance folk comme Feu follet.
Manau continue à mettre beaucoup d'humour dans sa marmite
à tubes, quelques prochains singles devraient mettre de
l'ambiance dans vos soirées.
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