Ca va à 250 à l'heure, c'est puissant, c'est rebelle,
ça secoue les tympans, ça vient du Texas
et
ça se nomme Speedealer, rien que ça !
Formé en 1994, Speedealer est le résultat du parfait
croisement entre punk, hard rock et métal. Après
s'être produit en 1999 dans tous les recoins des Etats Unis
en compagnie de groupes comme Nashville Pussy, Fu Manchu, Motorhead
ou encore Misfits, il s'associe à Daniel Ray (ancien producteur
des Ramones) pour sortir un nouvel album
Ainsi, Speedealer
revient cette année avec Here comes death, et dès
la première écoute il est très clair que
le groupe ne fait pas dans la dentelle !
Cet album se présente plus comme un véritable amalgame
de punk-métal aux multiples chansons énergiques
et courtes, qui vous force à penser à la mort. Là
est le concept de ce Here comes death. Les chansons sont assez
difficiles à cerner, comme le montre les titres Pig Fucker
ou encore Drink me Dead, elles ne se ressemblent pas vraiment
et Speedealer ne semble pas connaître de limites dans sa
musique avec une imagination féconde.
Le caractère chaotique présent nécessite
une longue écoute avant de réussir à véritablement
comprendre les intentions du groupe.
Tandis que la plupart des musiques de ce genre ne sont qu'énergiques,
celle de Speedealer est en plus parfaite pour réveiller
les comateux !
En clair, comme son nom l'indique voici venir la mort, et si
vous voulez mourir sous la puissance des décibels, Here
comes death est parfait pour vous.
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