Le deuxième opus de Cousteau, Sirena, ode à la
vie aquatique, vient d'émerger du grand océan musical
Petit rappel historique : le nom est un hommage à notre
Jacques Cousteau national et à ses explorations sous-marines,
révélant à la fois un monde de beauté
et de danger.
Cousteau (le groupe) a voulu retraduire ce sentiment paradoxal
au travers de ses nouveaux titres, ainsi le sombre (damn these)
Hungry times sur fond de trompettes et de violons, opposé
au (trop) court Last secret of the sea, un titre aérien,
planant...
L'atout majeur de cette formation, est son chanteur charismatique,
Liam McKahley, irlandais, à la voix superbe de baryton,
qui donne quelquefois aux compositions des accents à la
David Bowie ou Bryan Ferry comme dans Salome, l'histoire d'un
amour perdu, disparu mais toujours attendu.
Une pop langoureuse, intemporelle, un piano omniprésent,
quelquefois remplacé par des guitares électriques
(Heavy weather) pour des tonalités plus rock. Le tout est
un album à écouter, à l'aise dans une chaise
longue ou au coin du feu (mais ça c'est pour l'hiver),
de préférence à deux
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