Un homme : Alan Simon, compositeur nantais à qui l'on
doit l'opéra rock Excalibur la légende des Celtes
puis en 2000 l'album du retour de Roger Hodgson : Open the door.
Un ambitieux projet : Gaïa : un appel à la réconciliation
et à l'union fraternelle des être humains, une charte
des urgences planétaires pour l'environnement dans un hommage
à la fragilité de notre terre. La méthode
Gaïa devrait prendre forme dès 2001 avec la distribution
dans les écoles d'une méthode destinée à
l'éducation de l'environnement.
Des moyens conséquents : le projet Gaïa comprend
en plus de ce disque la sortie d'un livre écrit par Alan
Simon (Gaïa le voyageur infini), un écrit collectif
(Gaïa, marche pour la vie), une longue marche sur les pentes
de l'Himalaya qui sera filmé en vue d'une diffusion au
mois de septembre, ainsi qu'un Gaïa World Tour qui devrait
se dérouler dans les plus beaux sites naturels du monde
et dont la première représentation sera donnée
le 6 septembre 2003 dans les jardins du Château de Versailles.
Une mobilisation internationale : Ce sont 350 artistes qui ont
répondu à la demande d'Alan, parmi eux on retrouve
Midnight Oil (qui a toujours pris partie à la défense
de l'environnement dans ses chansons et ses actions) et qui pour
l'occasion s'est reformé une ultime fois, Zucchero et Anggun,
Cesaria Evora, des rencontres inédites : Jane Birkin et
Jean Reno (The lost horizon), Manu Dibango, Didier Lockwood, Steve
Shehan & Lulendo (Wema), Jeremy Spencer / Mick Fleetwood (membres
originaux de Fleetwood Mac), Billy Preston et Paolo Fresu, Anggun
accompagnée par le Bagad de Kemperlé et des Tambours
du Bronx
Sans oublier les participations du saxophoniste
de Supertramp : John Helliwell, Justin Hayward (ex Moody Blues)
et de l'Orchestre Symphonique de Prague.
Le résultat est à la hauteur des trois années
de préparation qu'il a demandé, la musique se joue
des styles pour faire passer un message fort à destination
de tous les hommes et de toutes les cultures : Sauvons la planète
Terre. Longue vie au projet Gaïa.
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