On a dignement
fêté la signature du contrat d'artiste chez Trema
en allant dans un restaurant mexicain (le Taco Loco) où
on a aussi bien bu.
 |
Que
ressent-on lorsque l'on voit son premier disque dans les bacs
?
Mise à part la satisfaction, ca fait bizarre surtout
de voir des gens qui vont avec le disque à la caisse
pour l'acheter. C'est curieux de savoir que tu as produit
un truc avec tes copains que tu as écrit des chansons
dans ton coin et que le public les aime et achète le
disque, c'est un peu surprenant comme truc. (Olivier) Je ne
suis allé par superstition que dans un seul magasin
le 10 septembre (jour de sortie du disque) et justement j'ai
vu des personnes avec notre disque dans la main. |
D'où
vient le choix de mettre quelques parties de claviers ?
Justement,
il y a très peu de claviers et ce qu'on pourrait prendre
pour des boucles sont en réalité des nouveaux effets
de guitare que nous utilisons et qui donnent ce son électronique.
Concrètement je crois qu'il n'y a qu'un seul passage de
claviers sur l'album sur Ultra non et un petit piano à
la fin de 45 minutes, sinon le reste provient des guitares ou
de la batterie. Ce sont des choses que nous avons toujours voulu
faire et que l'on a pu intégrer parce qu'on avait plus
de temps, plus de moyens et des gens qui savaient nous expliquer
comment aboutir au résultat escompté.
 |
Après
Pause, quel sera le prochain single ?
45 minutes, c'est l'une des premières chansons que
nous avons écrites, on l'aime bien et on va voir
comment elle va être perçue par les radios,
depuis le temps elle a beaucoup évolué.
Votre
entourage professionnel a-t-il connu quelques modifications
?
|
Forcément
depuis la signature, nous nous sommes entourés d'une vraie
petite équipe que nous avons choisie, nous fonctionnons
beaucoup à l'affectif et tout ce passe très bien,
notre tourneur Marc est devenu aussi notre manager et a apporté
beaucoup de choses, Yann notre fidèle régisseur
sur scène, Stéphane notre ingénieur du son
et l'éternel Joël, notre petit ami belge qui nous
aide pour tout, il est un peu le 5ème Daisybox. Il intervient
partout : soutien moral pendant les tournées, notre agent
en Belgique depuis bien longtemps. Nous sommes entourés
par des gens que nous aimons.
Peut-on
dire que Daisybox est arrivé à ce résultat
après un gros travail sur le terrain et après de
nombreux concerts ?
(Olivier)
je ne sais pas si l'on peut le dire, les autres sans doute, on
ne sait pas dans quelle mesure. Il se trouve qu'on a beaucoup
tourné ces 2/3 dernières années et les concerts
ont forgé le Daisybox de maintenant.
Vous
en êtes à combien ?
Suite
|