Bush a toujours eu de l'ambition, c'est un fait établi.
Malgré la volée de bois vert qu'il reçut
avec l'album des remix de ses chansons et pas rancunier pour un
sou, il revient avec The science of things.
Bush s'essaie à l'électronique avec de petites
doses présentent comme sur Altered states. Dans son désir
d'évolution, Bush a tendance à oublier ses inspirations
premières, à savoir un sens du riff, de la mélodie
ainsi que ce bon vieux rock qui frappe, dans lequel il excelle.
On retrouve son savoir faire musical sur The chemicals between
us, 40 miles from the sun ou Prizefighter
Ce disque aurait mérité un peu plus de travail
pour laisser Bush au top.
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