Festival Solidays, 5/06
et 6/06/2003 Hippodrome de Longchamp.
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Samedi 5 juillet.
Mais la soirée n'est pas terminée,
il nous reste encore à prendre une bonne tarte : à
peine somme nous sortis des Wampas que ça recommence à
l'autre bout du site : Indochine commence son show. Enfin,
une mise en scène !! Si, si, je vous le jure : un très
beau jeu de lumières rouges et de montages vidéos,
diffusés sur les divers écrans répartis autour
de la scène. C'est impressionant de voir Indochine sur
scène, et puis on a la larme à l'oeil, en se disant
que l'on est heureux de voir que ça marche pour Nicola
(très touché par l'accueil du public des Solidays,
qu'il ne cesse de remercier), car il le mérite, donc c'est
d'autant plus attendrissant et le show nous donne la chair de
poule. La set-list est très marqué par le dernier
album, véritable regain d'espoir et de reconnaissance pour
le groupe : les Electrostar, Mao Boy, Le grand secret (en duo
virtuel enregistré avec Melissa Auf der Maur, via les écrans),
J'ai demandé à la lune ou encore le dernier single,
le très gothique Marilyn.
Les 50 000 personnes (d'après Nicola) sont
en transe, le concert est incroyable, quoique un peu long....On
approche doucement de la fin, avec le traditionnel Bob Morane,
L'aventurier le plus célèbre après Indiana
Jones. Néanmoins, carton rouge adressé aux techniciens
qui ont laissé Nicola chanter avec un micro mal réglé.
Il n'est pas loin de 2h du matin, on est fatigué,
et on décide d'aller se coucher, car ça reprend
le lendemain, et on veut être en forme, quand même
!!
Dimanche 6 juillet.
La journée de dimanche commence aux alentours
de 14h, sur la scène Paris, avec le concert des vieux loups
du ska : The Skatalites. Personnellement, je ne les connaissais
que de nom et de réputation. Mais là j'ai été
épaté par tant de talent, de sagesse et de maitrise.
Leur ska est d'une rigueur époustouflante, et d'une qualité
qui dépasse toutes les espérances. C'est sur, faut
pas s'attendre à un " vrai " show, on ne peut
pas demander non plus à des "anciens"de bouger
autant que Dyonisos ou un groupe de hardcore. N'empêche
que les mimiques du contrebassiste et ses speechs incompréhensibles,
donnent un charme tout particulier à leur musique qui en
est déjà bourrée. Une vraie claque, on commence
fort la journée, et celle-là, je ne m'y attendais
pas, c'est vous dire !
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