Deborah signe içi son 3 ème album où elle cumule les fonctions de songwriter, vocaliste etde guitariste et joue un blues sévèrement burné, catégorie où elle rivalisesans problème avec le sexe opposé.
La mise en voix est parfaite et chaque instrument est mis en valeur: Goodbye misery, Haint’t it funny. Sa dextéritéet son apparente décontraction, sur cet album, sont le fruit d’un travail acharné depuis qu’ellecommença la guitare à 8 ans.
Les influences de ses idoles sont quelquefois manifestes (Buddy Guy & Larry Carlton) et il sera trèsintéressant de la voir jouer live car en plus de toutes ses qualités musicales (écoutez Thedream, tout en rondeur) elle possède un physique plus qu’avantageux.
Un des bons albums de blues orchestré par une femme (c’est rare) où Deborah joue sans complexe etle résultat est élogieux.